S’adapter aux pratiques actuelles
Plus que sur la technologie, le concept de « smart office » est centré sur les individus et leurs pratiques de travail. La crise sanitaire a en effet généralisé de nouvelles habitudes avec, en tête, le télétravail, avec lequel travailler à distance est devenu une norme : la présence physique n’est plus de rigueur. Les réunions ne se font plus nécessairement autour d’une table dans des locaux spécifiques, et la technologie doit aujourd’hui permettre de pouvoir y participer rejoindre où que l’on soit. Le bureau connecté aspire donc au maintien effectif du lien entre les collaborateurs quand bien même ils ne partageraient pas physiquement un même espace.
La data au service de la gestion du confort et de l’énergie
Concernant le travail encore effectué en présentiel dans les locaux de l’entreprise, puisque les travailleurs ont désormais la possibilité de travailler ailleurs, la présence dans l’entreprise doit plus que jamais être rendue attractive. C’est pourquoi le projet de bureau connecté implique également d’user de la technologie pour améliorer le confort de l’employé, cela par exemple à l’aide de capteurs permettant l’adaptation automatique du chauffage et de la lumière en fonction de la présence des personnes, de coussins mesurant le temps d’assise ou encore d’un filtrage des bruits indésirables de l’environnement de travail. Outre le gain d’énergie que cela implique, ces outils serait aussi utiles pour collecter des données à même de témoigner de certaines lacune de l’environnement de travail pour envisager des rénovations adéquates.
Pour en savoir plus sur la nature de ces « smart offices », il vous suffit de cliquer sur l’image ci-dessous et de consulter la rubrique Habitat du numéro Spécial nouvelles technologies du Journal du Village des Notaires, p. 25-25 :